Beaucoup de lectures croisées en ce moment pour les besoins (et désirs) d’un autre livre qui va voir le jour en novembre pour la fête du livre de Blanzat.
Bizarre de se sentir écrivain et encore plus en service littéraire commandé !
Ecrire sur le livre, l’écriture (l’acte d’écrire de la littérature ?), la fête du livre et sur ce qu’ont écrit mes écrivains de prédilection, n’est-ce pas un plaisir à savourer ? Je ne répondrai qu’en présence de mon noyau d’avocat.
Entre autres, je relis Louis Scutenaire et face à la tragédie du couple (pléonasme plus ou moins long), cette belle phrase à écrire sur la porte de la chambre à coucher : « Pourquoi nous montrer de mauvaise humeur puisque nous le sommes ? »
Cela fait très longtemps que je pose des questions sans espérer de réponses satisfaisantes. Ce mois de juillet m’a ravi. Peu de soleil et d’imbéciles en tong. Je reste dans la campagne (que je déteste), à l’intérieur des murs de la maison à faire du tourisme textuel et à regarder les beaux yeux noirs de ma petite Loulou.
Début des concerts en novembre. Pour moi, c’est l’automne qui sera chaud !